Lors de la 8ème journée du championnat de France de Ligue 1, Paris-Saint-Germain a battu le TFC 2-0.

Le score est sévère pour l'équipe du sud-ouest qui était bien organisée et qui s'est procurée quelques belles occasions avant que les Parisiens n'ouvrent le score.

La recrue Martin Braithwaite, international danois, est sûrement une belle trouvaille pour notre championnat. C'est un buteur né, un créateur de dangers et il va sûrement finir la saison en étant également un excellent passeur. Et il déteste perdre comme il l'a publié sur twitter à l'issue du match.

Bon début de saison également pour la recrue parisienne, le défenseur Marquinhos. Il a inscrit son second but pour Paris. Il est entré dans l'équipe-type suite à la blessure de son compatriote Alex et semble s'imposer jour après jour comme un excellent joueur.

Il y a eu également un mauvais geste d'Aguilar sur Zlatan Ibrahimovic. Le géant Suédois qui est aussi un provocateur à ses heures s'est énervé et la tension a monté. Il est sorti peu après et s'en est pris à Jonathan Zebina, son ex-équipier à Milan.

Évidemment, un mini-polémique s'en est suivi. Pour qui a déjà joué au foot, il peut y avoir des tensions entre joueurs, c'est bien normal. En général, tout cela retombe une fois le match terminé, alors n'en faisons pas plus que nécessaire.

Le 2ème but parisien a été inscrit sur pénalty. Au ralenti, nous avons pu constater que l'intervention de Spahic était licite, mais à pleine vitesse, bien malin qui pouvait se prononcer avec certitude.

Un grand bravo à l'entraîneur toulousain d'ailleurs. Alain Casanova n'en tenait pas à l'arbitre, reconnaissant la difficulté de prendre la bonne décision. Pas de plainte à la Jean-Michel Aulas dès que c'est injuste pour son équipe. Bravo donc à Casanova pour son fair-play. Ce genre de comportement devrait être la règle! Que tous les coachs, présidents et joueurs en prennent de la graine.

Fabien Galthier, l'entraîneur stéphanois est sur la même longueur d'onde que Casanova. En effet, le second but bastiais entaché d'un hors-jeu très net, n'a pas entraîné de sa part une réaction trop emportée. Il était bien entendu déçu et trouvait ça dur, mais aucune réflexion envers l'arbitre.

Les organisateurs Berlinois ont le don pour que leur marathon soit une réussite.

Aujourd'hui, dans la course hommes, le Kényan Wilson Kipsang qui avait échoué en 2012 dans sa quête de titre olympique a réussi aujourd'hui à remporter le Marathon de Berlin mais s'est également octroyé le record du monde.

Quelle tension dans les derniers kilomètres... Au 37ème kilomètre, il avait 8 secondes de retard sur le temps du record du monde, puis 5 secondes au 39ème kilomètre. Au 41ème, il avait 2 secondes d'avance. Chaque (télé)spectateur retenait son souffle!

Mais le Kényan en avait gardé sous le pied et terminait plus vite que Patrick Makau en 2011 (vainqueur en 2h03'38") et quelques mètres après avoir passé la porte de Brandenburg l'emportait en 2h03'23". 15 secondes à ce niveau-là, c'est un écart énorme. Très belle gestion de course pour cet athlète de 31 ans qui ajoute cette performance à ses 2 victoires au Marathon de Francfort en 2010 et 2011 et à sa victoire au Marathon de Londres en 2012.

Déplorons au passage ce spectateur (un abruti?) qui a sprinté devant l'athlète pour couper la ligne d'arrivée juste avant lui et avoir son heure de gloire. Respectons les athlètes et laissons-leur la gloire de leurs exploits.

Chez les femmes, la victoire revient à la Kényane Florence Kiplagat (2h21'13").

Mais notons le superbe performance d'Irina Mititenko. L'Allemande de 41 ans a terminé 3ème en 2h24'54" battant le record de monde de la catégorie des vétérans (plus de 40 ans). Elle termine 3ème de la catégorie femmes. Elle était très heureuse à l'arrivée et on la comprend bien.

Les organisateurs qui engagent des lièvres et une seule tête d'affiche par catégorie ont un résultat à la hauteur de leur espérance.

Je rapportais il y a quelques jours les propos de la présidente de la WTA, Stacey Allaster, qui disait que les joueuses étaient disposées à jouer les tournois du Grand Chelem au meilleur des 5 sets et qu'il suffisait qu'on leur demande.

Les joueuses aujourd'hui ont pris la parole venant soutenir les propos de leur présidente.

Venus Williams et Angelique Kerber ont toutes les 2 donné leur accord sur le principe.

Venus a notamment dit qu'elle s'adapterait à la formule qui sera choisie.

L'Allemande a souligné que physiquement les joueuses si elles peuvent jouer en 3 sets, peuvent tout aussi bien jouer en 5 sets.

Seule la Tchéque Kvitova a montré une petite réserve car les matchs sont de plus en plus serrés entre les 50 meilleurs joueuses mondiales.

Reste à résoudre les aspects organisationnels mais il semble qu'on se dirige vers cette solution. Peut-être pas en 2014 mais 2015 devrait être l'année de la révolution.

A suivre...

Aujourd'hui, dans la ville historique de Florence avait lieu le championnat du monde hommes.

Sur un circuit nerveux, rendu dangereux par la pluie, la course s'est jouée comme bien souvent dans les derniers tours, et surtout le dernier.

Vincenzo Nibali avait chuté dans l'avant-dernier tour mais était revenu facilement dans le peloton confirmant ainsi son statut de favori.

Au début du dernier tour, il restait une quarantaine de coureurs à l'avant dont l'essentiel des favoris : Sagan, Cancellara, Boasson-Hagen, Gilbert, Nibali, Huran, Valverde, Purito et également deux français Arthur Vichot et Romain Bardet.

Dans l'avant-dernière ascension, plusieurs coureurs accéléraient tour à tour et deux coureurs passaient détachés au sommet : Purito Rodriguez et Vincenzo Nibali.

Connaissant les qualités de descendeur de Vincenzo Nibali, nous pouvions pronostiquer son retour dans la descente.

Mais l'Italien sans doute anxieux suite à sa chute un peu plus tôt prenait moins de risques... et perdait du terrain.

Repris par Valverde et Da Costa, l'Italien assurait l'essentiel de la poursuite.

Au pied de la dernière ascension, le groupe de 4 se reformait.

Purito reprenait le large dans la descente. Nibali toujours prudent laissait le trou se creuser à nouveau. Valverde marquait le vainqueur du Giro 2013 et jouait son rôle de coéquipier. Da Costa qui s'était accroché dans la dernière ascension semblait se contenter de suivre les deux hommes et tentait de se refaire la cerise.

Purito donnait le maximum. A deux kilomètres de l'arrivée, Nibali abdiquait car il n'était pas relayé et se relevait. Valverde restait dans sa roue et à ce moment-là, Da Costa produisait son effort et partait en contre derrière l'Espagnol, qu'il rejoignait peu après la flamme rouge.

Les deux hommes allaient se livrer à un sprint final où le Portugais accélérait le premier et prenait l'avantage d'une longueur. Purito s'accrochait et revenait peu à peu à une roue mais le Portugais en rajoutait encore un peu pour remporter sa plus belle victoire et le titre 2013.

Purito Rodriguez méritait bien évidemment la victoire car il a réalisé un dernier tour monstrueux. Mais il a finalement été un peu court.

Da Costa a lui aussi mérité le titre car tactiquement ce fut lui le meilleur. S'accrochant dans chaque montée, refusant au maximum les relais pour récupérer et bien sûr en jaillissant au bon moment.

Nibali aurait certainement mérité meilleur sort, mais certainement entamé par ses gros efforts, il a fini par craquer à 2 kilomètres de l'arrivée.

Cette course a donc fait honneur aux grimpeurs plutôt qu'aux puncheurs. Ils sont là, mais n'ont rien pu faire quand les grimpeurs ont accélérés dans les dernières ascensions. Sagan termine 6ème, Gilbert 9ème, Cancellara 10ème et Boasson-Hagen 20ème.

Quant aux Français, c'était finalement le champion de France Arthur Vichot qui terminait le mieux classé avec une belle 18ème place à 1'05 du vainqueur et Romain Bardet (qui avait tenté de s'échapper dans l'avant-dernier tour franchissait la ligne en 28ème position à 2'01. Belle course de ces deux hommes dont c'était le premier championnat du monde. Ils sont jeunes, ont accumulé ici de l'expérience et ont tenté de belles choses. Bravo à eux!

D'aucuns craignent que la Champions League, la compétition de clubs la plus prestigieuse, ne perde de son intérêt.

Lors de la réforme de cette compétition, l'idée maîtresse était d'accroître le nombre de grands clubs participants afin d'augmenter le nombre d'affiches alléchantes et par la-même les revenus (qu'ils soient publicitaires ou en provenance des droits TV).

A l'époque, les grands clubs européens menaçaient de créer une compétition parallèle qui aurait répondu à leurs critères de maximisation des gains.

Le hic, c'est qu'avec le temps, les affiches exceptionnelles sont devenues la norme. Du coup, elles perdent en saveur petit à petit.

En conséquence, les matchs qui opposent "grands" clubs contre clubs "modestes" sont délaissés par les téléspectateurs et par les spectateurs.

Bien sûr, il arrive qu'un club au budget plus modeste atteigne les 8èmes de finale comme Bâle en 2012. Mais Bâle, même en étant le plus gros budget en Suisse, ne peut espérer gagner cette compétition. Et quand un club réussit quelques belles performances, lors du mercato suivant, il se fait piller par les clubs les plus riches.

Que faire pour redynamiser cette compétition?

Revenir à un aspect plus coupe ferait fuir les gros clubs qui veulent jouer un maximum de matchs.

Appliquer le fair-play financier? Les grands clubs mettent déjà en place des parades pour éviter cet écueil.

Un déplacement des matches le week-end (et pas seulement la finale comme ces dernières années)? Après un coup de booster, les effets s'estomperaient.

Les petits clubs se sont fait assassinés par cette compétition et s'il n'y a pas de limitation des grands clubs, rien ne changera.

Après sa victoire à Metz, Gilles Simon participe au tournoi de Bangkok.

Il n'est jamais évident de reprendre après un long voyage et une belle semaine, car ce n'est pas idéal pour la récupération.

Lorsqu'on ajoute le fait de devoir jouer un match face au talentueux mais irrégulier Bernard Tomic, le danger d'avoir fait le voyage pour un seul match est gros.

Mais après une pause forcée pour se remettre en forme, Gilles Simon a l'air particulièrement bien remis. Il a dominé le jeune Australien 6-4 7-5.

Il engrange sa 300ème victoire sur le circuit professionnel.

Vainqueur de ce tournoi en 2009, Simon devrait passer le cap des quarts de finale. Après ce sera plus dur avec la perspective d'affronter Tomas Berdych, puis éventuellement Richard Gasquet (lui aussi en grande forme depuis quelques mois) ou Raonic.

Hier soir, lors de la 19ème et dernière régate de l'America's Cup, les Américains d'Oracle ont terminé le travail. En fait, il n'y a eu du suspense qu'au départ.

Par la suite, l'écart s'est creusé inéluctablement entre Orable et Team New Zealand.

Sans une erreur du bateau américain, les kiwis n'avaient aucune chance de l'emporter.

Le travail acharné sur Oracle a été bien mené et jour après jour, le retard s'est comblé jusqu'à être intouchable.

Au final, le budget a sans doute permis de faire la différence.

Dans cette America's Cup, le record du nombre de régates a été battu. Mais avec le nouveau format, elles sont d'une durée beaucoup plus courte que par le passé puisqu'elles durent moins de 30 minutes ce qui accroît le côté spectaculaire pour les (télé-)spectateurs.

Le retournement de situation a également renforcé le côté spectaculaire de cette compétition.

Il faudra encore attendre un peu pour être totalement certain de la victoire d'Oracle puisque depuis la précédente édition les équipes ont tendance à aller devant les tribunaux pour régler leurs différents.

Il serait judicieux que ceci soit un peu plus encadré car les amateurs de sport préfèrent les victoires sur le terrain plutôt que celles rendues par des décisions de justice.

Depuis que la présidente de la WTA, la canadienne Stacey Allaster, a affirmé que les joueuses professionnelles étaient prêtes, désireuses et capables de jouer au meilleur des 5 sets lors des tournois des grands chelems ce mardi, l'information est relayée par tous les médias sportifs et suscite bon nombre de commentaires.

Le bémol, c'est qu'Allaster affirme qu'il suffit qu'on lui demande.

Donc, la WTA n'est pas demandeuse mais accepterait. La nuance n'est pas anodine.

Les joueuses ont demandé pendant plusieurs années l'égalité de traitement financiers par rapport aux hommes lors des grands chelems, chose qu'elles ont fini par obtenir.

Alors bien sûr, on leur a reproché de jouer au meilleur des 3 sets (ce qui n'est pas le cas des hommes), donc moins longtemps. Le salaire horaire des femmes est donc maintenant supérieur à celui des hommes lors des grands chelems (mais ça ne compense pas la réalité de nos sociétés occidentales où les femmes touchent 25% de moins que les hommes en moyenne).

Serait-ce donc une bonne chose ou pas?

Côté avantages, je ne vois qu'un point à mentionner :

• Mêmes conditions en termes de jeu et de gains entre les hommes et les femmes

Côté inconvénients, il y aurait plusieurs mesures à prendre au niveau de l'organisation :

• Les matchs dureront plus longtemps, donc il faudra revoir le planning des matchs. Les organisateurs ont l'habitude de s'adapter, mais cette fois-ci, cela prendra nécessitera une réflexion profonde.
• A priori, ça ne changera pas le résultat final. Les filles qui vont au bout sont les meilleures et n'ont pas de déficit physique.
• Les supporters et spectateurs ont-ils envie de voir des matches en 5 sets chez les filles. La première fois, ça sera une attraction. Par la suite, personne ne peut l'affirmer. Mais d'un côté, il y a une certaine contradiction puisque les athlètes trouvent souvent les saisons trop longues avec trop de matches. Ajouter quelques sets supplémentaires indurait probablement des forfaits des meilleures joueuses dans les tournois qui suivent les grands chelems.

Alors, attendons de voir si un organisateur demande à la WTA de passer à 5 sets et comment cela se passera.

Parions que ça se passerait très bien comme chaque (r)évolution dans le sport le fut par le passé.

Mercredi dernier, il y a donc 6 jours, Team New Zealand remportait sa 8ème victoire face à Oracle et menait 8-1.

Etant donné qu'il faut gagner 9 régates pour remporter cette compétition créée en 1851 et l'aiguière d'argent.

Et ce soir, au terme de la 1ère manche du jour, les Américains sont revenus à un seul point : 8-7.

Le suspense est à son comble après 17 régates. La 18ème arrive et le terme de la compétition se rapproche.

La 18ème manche va débuter dans quelques instants

Ces magnifiques bateaux virent de bord de façon rapide est impressionnante.

Les Néo-Zélandais ont l'avantage du départ, ils doivent le réussir pour espérer gagner ce soir!

Quelle vitesse à la 1ère marque! Plus de 43 noeuds!!!

Team New Zealand prend l'avantage et mène de prêt de 200 mètres. Mais Oracle s'accroche et revient mètre après mètre.

Après la 2ème bouée, Oracle bénéficie d'une erreur des kiwis (un virement tardif au lieu de rester devant Oracle et d'éventuellement les gêner en passant devant les Américains) pour repasser devant et prendre 300 mètres d'avance sur le bord de près.

Oracle passe la 3ème bouée avec 57 secondes d'avance.

On passe au bord au portant.

Les bateaux filent à nouveau à plus de 40 noeuds! L'écart dépasse 1000 mètres.

Les Américains pleins de confiance et de sérénité ne font aucune erreur. 49 secondes d'avance à la 4ème bouée. 54 secondes sur la ligne d'arrivée.

Les Kiwis ont à peine franchi cette bouée que les Américains passent la ligne d'arrivée. L'équipage se congratule et les spectateurs leur lancent des vivas bien mérités dans cette belle baie de San Francisco.

Il restera une dernière et ultime manche demain pour départager les 2 équipes.

Il ne faudra pas manquer ça!

Match important ce soir au Vélodrome entre l'OM et l'AS Saint-Etienne respectivement 4ème et 3ème au classement de Ligue 1 après 6 journées.

Le premier quart d'heure voit la domination des Marseillais qui tiennent bien le ballon (60%) et se montrent les plus dangereux obtenant 2 corners.

Les Verts sont eux quelque peu timorés et tentent de sortir tant bien que mal.

Finalement, ce sont les latéraux qui tirent les premiers : Rod Fanny pour Marseille et Ghoulam pour St-Etienne, mais à chaque fois sans danger pour le gardien adverse.

A la 21ème minute, les Stéphanois récupèrent un bon ballon au milieu de terrain et se retrouvent à 5 contre 3. Sur une tentative de tir de Cohade, les Verts demandent une main dans la surface du défenseur marseillais mais l'arbitre ne siffle pas.

Sur la contre-attaque, Valbuena déborde sur le côté droit et centre au second poteau. Benjamin Mendy, seul, écrase sa frappe du droit qui rebondit et lobe avec une certaine réussite un Ruffier impuissant.

Dans la foulée, sur l'attaque suivante (26ème), Rod Fanni centre côté droit. Le ballon n'est que dévié par Kurt Zouma le défenseur Stéphanois, et Imbula libre de tout marquage au milieu de la défense passive des Verts inscrit le second but pour l'OM. Le break est fait.

Imbula est impressionnant au milieu de terrain.

A la demi-heure de jeu, sur un centre de Cohade, l'arbitre siffle une main de Romao dans la surface et Saint-Etienne obtient un pénalty généreux. Ghoulam le transforme d'un belle frappe du gauche hors de portée de Mandanda pourtant parti du bon côté.

A la 37ème minute, Valbuena obtient un bon coup franc qu'il tire lui-même. Sa frappe est superbement enroulée et part dans la lucarne droite de Ruffier qui la sort d'une superbe envolée.

Les Stéphanois, bien que dans le dur s'accrochent et Renaud Cohade frappe à l'entrée de la surface mais son tir passe au dessus du but phocéen.

Les Marseillais dominent toujours mais les Stéphanois continuent de construire à partir de bonnes récupérations au milieu de terrain. Hamouma peut tirer deux fois au buts en quelques minutes sur des centres de Mollo puis de Clerc.

Les Marseillais sereins jusqu'ici ne semblent plus à l'abri.

Ce sont pourtant les Marseillais qui finissent le mieux la mi-temps avec un dernier tir de Mathieu Valbuena que Ruffier parvient in extremis à dévier le ballon sur son poteau droit.

Mi-temps avec un bon tempo et un grand nombre d'occasions de part et d'autre après un premier quart d'heure d'observation.

Au retour des vestiaires, les Marseillais laissent le ballon à leurs adversaires. Ce n'est peut-être pas l'idéal de subir autant surtout à 40 minutes du terme du match.

Sur corner, Kurt Zouma reprend le ballon de la tête qui ne passe pas loin du cadre (52ème).

Les Marseillais changent d'attitude et remettent le pied sur le ballon. C'est clairement une meilleure stratégie.

Après l'heure de jeu, le match perd en intensité.

Mollo, victime d'une forte torsion de la cheville, doit quitter ses partenaires sur une faute d'André Ayew.

Mathieu Valbuena continue a être le joueur le plus créatif pour l'OM jusqu'à son remplacement à un quart d'heure du terme.

Les Stéphanois toujours menés tentent de placer leurs attaques mais se créent peu d'occasions, hormis sur coup de pied arrêté. Mandanda doit arrêter un bon tir sur sa ligne à la 83ème.

Dans les dernières minutes, les espaces s'agrandissent dans la défense stéphanoise. André Ayew a une superbe dernière occasion dans le temps additionnel mais Ruffier sort de nouveau le ballon d'une magistrale envolée.

A la fin du match, Elie Baup, le coach marseillais affiche sa satisfaction :

• Les jeunes s'intégrent petit à petit et apportent leurs qualités au collectif
• Le niveau de jeu global est bon même lors des défaites face à l'ASM et Arsenal
• Au niveau du championnat, il était important de prendre les 3 points ce soir et continuer sur le bon rythme de ce début de saison.

Marseille revient à hauteur de l'ASM avec 14 points.

Suite de la 7ème journée demain soir.